La 20 session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) s’est déroulée lundi à Lomé. Elle a permis aux chefs d’Etat de passer en revue les situations sécuritaire, politique et économique de la zone. Les questions de l’intégration et de mise en application des critères de convergence ont été également évoquées.
A l’ouverture des travaux, le président ivoirien, président en exercice de l’UEMOA, Alassane Ouattara est revenu largement sur le défi sécurité auquel fait face plusieurs pays de la zone. Il a plaidé pour une coopération entre les Etats membres et la mise en œuvre du Plan d’action pour la paix et la sécurité dans l’espace UEMOA adoptée en 2016.
En raison du caractère international des menaces qui pèsent sur les différents membres, le président en exercice de l’institution a estimé qu’il est impérieux de mutualiser les efforts pour une riposte collective pour le fait que l’insécurité n’a pas de frontière.
Le contexte sociopolitique de l’espace UEMOA a été également relevé par Alassane Ouattara. Selon lui, ce contexte est marqué par des tensions sociopolitiques çà et là.
« Dans certains pays de notre sous-région, la situation politique est toujours préoccupante. J’exhorte les acteurs à privilégier le dialogue inclusif qui demeure le moyen le plus sûr de dégager un consensus national et de mobiliser toutes les forces vives », a déclaré Alassane Ouattara.
Quant à la situation économique, l’UEMOA entend consolider les acquis pour améliorer le bien-être des populations. Le président ivoirien a saluée par la suite les avancées significatives dans le domaine de l’intégration régionale.
Économiquement, il ressort que l’UEMAO se porte très bien, avec un taux de croissance confortable proche de 7% en 2017. Les perspectives de 2018 sont également bonnes.
« Les Chefs d’Etat ont également fait une revue les projets et programmes communautaires. Des performances ont été réalisées au niveau des trois domaines à savoir la gouvernance économique, le marché commun et les politiques sectorielles. Ils ont analysés la situation de la convergence économique au niveau de l’UEMOA. Des progrès importants ont été réalisés par les pays en 2017 et il y a de bonnes perspectives pour que l’horizon 2019 fixé puisse être respecté. La situation au niveau du marché commun y compris la libre circulation des personnes et des biens a été examinée. Pour le moment, il y a quelques problèmes mais des dispositions sont prises pour qu’en 2018 il y ait des avancées », a expliqué Abdallah Boureima, le Président de la Commission de l’UEMOA au sortir des travaux.
L’UEMOA est composée de 8 pays de l’Afrique de l’Ouest. Il s’agit du Bénin, du Burkina-Faso, de la Côte d’ivoire, de la Guinée-Bissau, du Mali, du Niger, du Sénégal et du Togo. (TBN/2018)
En raison du caractère international des menaces qui pèsent sur les différents membres, le président en exercice de l’institution a estimé qu’il est impérieux de mutualiser les efforts pour une riposte collective pour le fait que l’insécurité n’a pas de frontière.
Le contexte sociopolitique de l’espace UEMOA a été également relevé par Alassane Ouattara. Selon lui, ce contexte est marqué par des tensions sociopolitiques çà et là.
« Dans certains pays de notre sous-région, la situation politique est toujours préoccupante. J’exhorte les acteurs à privilégier le dialogue inclusif qui demeure le moyen le plus sûr de dégager un consensus national et de mobiliser toutes les forces vives », a déclaré Alassane Ouattara.
Quant à la situation économique, l’UEMOA entend consolider les acquis pour améliorer le bien-être des populations. Le président ivoirien a saluée par la suite les avancées significatives dans le domaine de l’intégration régionale.
Économiquement, il ressort que l’UEMAO se porte très bien, avec un taux de croissance confortable proche de 7% en 2017. Les perspectives de 2018 sont également bonnes.
« Les Chefs d’Etat ont également fait une revue les projets et programmes communautaires. Des performances ont été réalisées au niveau des trois domaines à savoir la gouvernance économique, le marché commun et les politiques sectorielles. Ils ont analysés la situation de la convergence économique au niveau de l’UEMOA. Des progrès importants ont été réalisés par les pays en 2017 et il y a de bonnes perspectives pour que l’horizon 2019 fixé puisse être respecté. La situation au niveau du marché commun y compris la libre circulation des personnes et des biens a été examinée. Pour le moment, il y a quelques problèmes mais des dispositions sont prises pour qu’en 2018 il y ait des avancées », a expliqué Abdallah Boureima, le Président de la Commission de l’UEMOA au sortir des travaux.
L’UEMOA est composée de 8 pays de l’Afrique de l’Ouest. Il s’agit du Bénin, du Burkina-Faso, de la Côte d’ivoire, de la Guinée-Bissau, du Mali, du Niger, du Sénégal et du Togo. (TBN/2018)