(Aspamnews)- Les leaders de la Coalition des 14 partis de l’opposition, ont précipitamment quitté la manifestation organisée par le front citoyen Togo Debout, pour se rendre à Conakry, en Guinée, chez l’un des facilitateurs, le président Alpha Condé.
Cette rencontre, selon nos sources, est l’occasion pour les leaders de la C14 de l’opposition de faire une évaluation de la mise en œuvre de la feuille de route de la CEDEAO pour une sortie pacifique de crise au Togo. Nous apprenons que le regroupement de l’opposition compte insister sur quatre (4) importantes revendications.
Cette rencontre, selon nos sources, est l’occasion pour les leaders de la C14 de l’opposition de faire une évaluation de la mise en œuvre de la feuille de route de la CEDEAO pour une sortie pacifique de crise au Togo. Nous apprenons que le regroupement de l’opposition compte insister sur quatre (4) importantes revendications.
Les leaders de la Coalition de l’opposition togolaise tiendront une séance de travail avec Alpha Condé, co-facilitateurs de la crise politique togolaise en présence des membres du comité de suivi de la mise en œuvre de la feuille de route.
Tenu au secret jusque-là, ce voyage a été dévoilé par le Chef de file de l’opposition, Jean-Pierre Fabre au démarrage de la marche organisée par le Front Citoyen Togo Debout.
« Nous souhaitons participer à toute la manifestation, parce que c’est notre manifestation à tous. Malheureusement, nous sommes obligés de partir, parce que nous avons reçu une invitation du président Alpha Conde à prendre part à une réunion du Comité de suivi de la feuille de route à Conakry…», a-t-il déclaré.
Pour le président de l’Alliance nationale pour le changement (ANC), la rencontre de Conakry est une nouvelle réunion du Comité de suivi. Elle devra permettre de « faire une évaluation de la mise en œuvre de la feuille de route ».
« Nous aborderons surtout de ce qui a été fait le 23 septembre dernier, c’est-à-dire ce qu’on a appelé la synthèse des travaux du 23 septembre », a expliqué Jean-Pierre Fabre.
Par la même occasion, le candidat malheureux à la présidentielle de 2015 exhorte les togolais à ne pas « trop compter sur l’extérieur » pour arriver à bout du pouvoir togolais.
« L’extérieur ne va rien faire pour nous. C’est notre détermination qui mettra la pression nécessaire pour faire reculer le régime. Il faut que la mobilisation populaire monte en puissance », a-t-il insisté.
Nous apprenons par ailleurs qu’à Conakry, l’opposition plaidera pour quatre importantes revendications : il s’agit de l’effectivité de la recomposition de la CENI, la reprise des opérations de recensement pour lesquelles elle a appelé au boycott, le report des élections pour l’année prochaine et enfin la mise en œuvre des mesures d’apaisement avec en toute de fond, les évènements en cours à Sokodé.
Les conclusions de la rencontre de Conakry sont très attendues surtout qu’en début de semaine, la CEDEAO a dépêché auprès de la CENI deux experts pour l’audit du fichier électoral issu du recensement. (SPM/2018)
Tenu au secret jusque-là, ce voyage a été dévoilé par le Chef de file de l’opposition, Jean-Pierre Fabre au démarrage de la marche organisée par le Front Citoyen Togo Debout.
« Nous souhaitons participer à toute la manifestation, parce que c’est notre manifestation à tous. Malheureusement, nous sommes obligés de partir, parce que nous avons reçu une invitation du président Alpha Conde à prendre part à une réunion du Comité de suivi de la feuille de route à Conakry…», a-t-il déclaré.
Pour le président de l’Alliance nationale pour le changement (ANC), la rencontre de Conakry est une nouvelle réunion du Comité de suivi. Elle devra permettre de « faire une évaluation de la mise en œuvre de la feuille de route ».
« Nous aborderons surtout de ce qui a été fait le 23 septembre dernier, c’est-à-dire ce qu’on a appelé la synthèse des travaux du 23 septembre », a expliqué Jean-Pierre Fabre.
Par la même occasion, le candidat malheureux à la présidentielle de 2015 exhorte les togolais à ne pas « trop compter sur l’extérieur » pour arriver à bout du pouvoir togolais.
« L’extérieur ne va rien faire pour nous. C’est notre détermination qui mettra la pression nécessaire pour faire reculer le régime. Il faut que la mobilisation populaire monte en puissance », a-t-il insisté.
Nous apprenons par ailleurs qu’à Conakry, l’opposition plaidera pour quatre importantes revendications : il s’agit de l’effectivité de la recomposition de la CENI, la reprise des opérations de recensement pour lesquelles elle a appelé au boycott, le report des élections pour l’année prochaine et enfin la mise en œuvre des mesures d’apaisement avec en toute de fond, les évènements en cours à Sokodé.
Les conclusions de la rencontre de Conakry sont très attendues surtout qu’en début de semaine, la CEDEAO a dépêché auprès de la CENI deux experts pour l’audit du fichier électoral issu du recensement. (SPM/2018)