(ASPAMNEWS)- L’Eurodéputé Louis Michel, au cours d’une rencontre lundi à Lomé, avec certains responsables politiques de l’opposition togolaise et de la société civile, a présenté ses excuses du bout des lèvres, pour le désagrément de ses propos tenus après avoir rencontré le président Faure Gnassingbé.
Si ces différentes rencontres ont permis à la délégation de rencontrer le gouvernement togolais, le chef de l’Etat, l’opposition parlementaire, la majorité parlementaire et les partis d’opposition extraparlementaire, une chose est à noter que les déclarations de Louis Michel au sortir de la rencontre avec le chef de l’Etat n’ont pas été appréciés par le Front citoyen Togo Debout.
En effet, lors de la rencontre des la mission ACP-EU avec les organisations de la société civile, les responsables des OCS ont critiqué la position de Louis Michel qui a dû présenter ses excuses « pour le désagrément qu’a pu causer sa déclaration » faite à l’issue de l’audience avec Faure Gnassingbé.
Si ces différentes rencontres ont permis à la délégation de rencontrer le gouvernement togolais, le chef de l’Etat, l’opposition parlementaire, la majorité parlementaire et les partis d’opposition extraparlementaire, une chose est à noter que les déclarations de Louis Michel au sortir de la rencontre avec le chef de l’Etat n’ont pas été appréciés par le Front citoyen Togo Debout.
En effet, lors de la rencontre des la mission ACP-EU avec les organisations de la société civile, les responsables des OCS ont critiqué la position de Louis Michel qui a dû présenter ses excuses « pour le désagrément qu’a pu causer sa déclaration » faite à l’issue de l’audience avec Faure Gnassingbé.
Si la mission d’information et d’étude de l’Assemblée Parlementaire Paritaire ACP-UE s’est bien déroulée, il faut noter que les propos tenus par Louis Michel au sortir de l’audience avec le Président togolais n’ont pas été du goût d’un certain nombre d’acteurs.
En effet, à l’issue de la rencontre de la délégation parlementaire ACP-UE avec Faure Gnassingbé, l’eurodéputé Louis Michel n’a pas caché son extrême « satisfaction », soutenant que le Togo progresse très fort.
« Nous allons rentrer extrêmement satisfaits. C’est un pays (le Togo) qui progresse manifestement très fort… Et donc nous allons repartir d’ici assez rassurés de la manière dont le Togo évolue », a-t-il dit.
Une position que fustige le Front Citoyen « Togo Debout ». L’organisation de David Dosseh l’a d’ailleurs exprimé à la délégation. Le FCTD a indiqué que « la déclaration de Monsieur Louis Michel n’honorent pas la Mission, alors que les rencontres et prises de contacts prévues avec les différents acteurs par la Mission étaient toujours en cours et n’étaient pas encore achevées ».
« Les OSC ont regretté́ le fait notamment que cette déclaration, quelque peu hâtive, de Monsieur Louis Michel, à l’allure d’une véritable synthèse débouchant sur une conclusion, constitue non seulement un mépris des autres acteurs non encore rencontres, mais aussi et surtout pourrait enlever à la Mission son impartialité́, et partant sa crédibilité́ », lit-on dans une mise au point de Togo Debout.
Selon l’organisation, Louis Michel a été obligé de présenter ses « excuses… sur le désagrément qu’a pu causer sa déclaration ».
Dimanche, la délégation de l’Assemblée parlementaire ACP-UE a rencontré des représentants de certains partis extraparlementaires, notamment l’ANC, le CAR, le PNP et le reste de la Coalition.
« Nous avons naturellement exprimé les préoccupations des Togolais, nous avons exposé les circonstances dans lesquelles les élections du 20 décembre 2018 ont été organisées pour qu’ils comprennent très bien qu’il ne s’agit pas d’élections normales et pourquoi nous en sommes arrivés à ne pas y participer alors qu’il n’était pas du tout question pour nous de boycotter ces élections au départ ».
Pour l’opposition togolaise, cette mission intervient vraiment tard. Mais les partis de l’opposition extra-parlementaires ont insisté sur la nécessité des réformes constitutionnelles et institutionnelles, la libération des détenus politiques et le retour des réfugiés.
Rappelons que la mission de collecte d’informations sur la situation sociopolitique au Togo de l’Assemblée parlementaire ACP-UE va établir un rapport qui sera présenté à l’Union Européenne. (SPM/2019)
En effet, à l’issue de la rencontre de la délégation parlementaire ACP-UE avec Faure Gnassingbé, l’eurodéputé Louis Michel n’a pas caché son extrême « satisfaction », soutenant que le Togo progresse très fort.
« Nous allons rentrer extrêmement satisfaits. C’est un pays (le Togo) qui progresse manifestement très fort… Et donc nous allons repartir d’ici assez rassurés de la manière dont le Togo évolue », a-t-il dit.
Une position que fustige le Front Citoyen « Togo Debout ». L’organisation de David Dosseh l’a d’ailleurs exprimé à la délégation. Le FCTD a indiqué que « la déclaration de Monsieur Louis Michel n’honorent pas la Mission, alors que les rencontres et prises de contacts prévues avec les différents acteurs par la Mission étaient toujours en cours et n’étaient pas encore achevées ».
« Les OSC ont regretté́ le fait notamment que cette déclaration, quelque peu hâtive, de Monsieur Louis Michel, à l’allure d’une véritable synthèse débouchant sur une conclusion, constitue non seulement un mépris des autres acteurs non encore rencontres, mais aussi et surtout pourrait enlever à la Mission son impartialité́, et partant sa crédibilité́ », lit-on dans une mise au point de Togo Debout.
Selon l’organisation, Louis Michel a été obligé de présenter ses « excuses… sur le désagrément qu’a pu causer sa déclaration ».
Dimanche, la délégation de l’Assemblée parlementaire ACP-UE a rencontré des représentants de certains partis extraparlementaires, notamment l’ANC, le CAR, le PNP et le reste de la Coalition.
« Nous avons naturellement exprimé les préoccupations des Togolais, nous avons exposé les circonstances dans lesquelles les élections du 20 décembre 2018 ont été organisées pour qu’ils comprennent très bien qu’il ne s’agit pas d’élections normales et pourquoi nous en sommes arrivés à ne pas y participer alors qu’il n’était pas du tout question pour nous de boycotter ces élections au départ ».
Pour l’opposition togolaise, cette mission intervient vraiment tard. Mais les partis de l’opposition extra-parlementaires ont insisté sur la nécessité des réformes constitutionnelles et institutionnelles, la libération des détenus politiques et le retour des réfugiés.
Rappelons que la mission de collecte d’informations sur la situation sociopolitique au Togo de l’Assemblée parlementaire ACP-UE va établir un rapport qui sera présenté à l’Union Européenne. (SPM/2019)